À ces idiots qui osent rêver est une comédie musicale et romantique moderne que j’ai trouvée fort sympatique. Nos deux protagonistes se rencontrent par hasard au détour d’un parc, alors que l’un est au beau milieu d’une dispute conjugale au téléphone et l’autre en pleine lecture d’un essai.
Cette pièce témoigne de la complexité des relations humaines, d’autant plus lorsque des sentiments sont en jeu. Ici, chacun des personnages vit une histoire d’amour de son côté, mais une forte amitié va naître entre les deux. Ils vont par la suite apprendre à mieux se connaître et à s’apprivoiser l’un l’autre.
Cette histoire d’amour m’a fait passer par plein d’émotions différentes et m’a fait revivre certains de mes propres émois amoureux. Les deux personnages sont attachants et je me suis interrogé jusqu’à la fin de la pièce sur la finalité de leur relation.
Comme toute comédie musicale qui se respecte, les personnages d’À ces idiots qui osent rêver dansent et la bande originale a été composée spécialement pour le spectacle. La représentation à laquelle j’ai assistée était la première d’une série de six réparties sur trois semaines.
À ces idiots qui osent rêver est interprétée par Marc Pistolesi et Céline Devalan. La composition musicale est d’Adriel Genet. Le spectacle se joue au Théâtre de Poche Graslin les 11, 13, 25 et 27 novembre 2021 à 21h et les 18 et 20 novembre à 19h.
Pour plus d’informations concernant les tarifs ou la manière de vous y rendre, je vous renvoie directement vers le site internet du Théâtre de Poche Graslin. Les images utilisées dans cet article ne sont présentes que pour illustrer mon propos et restent la propriété de leurs auteurs respectifs.